30-12
Nom: Underbourg
Prénom: Melanos
Age: 20 ans
Sexe: homme
Race : Humain
Dieu vénérer: Il ne reconnait aucun Dieu comme étant son Dieu.
Orientation sexuelle : Pour les femmes.
Métier ou classe : Aucun métier ou classe en particulier. Se débrouille ici et là. Entre autre en herboristerie. [b]
[b]Compagnon animal: Aucun [b]
[b]Inventaire: Il se déplace beaucoup, alors il ne trimbale pas un grand attirail sur lui. Des vêtements souples tels; une chemise beige de lin à lacets, un pantalon noir de coton... à lacets, une veste ample de cuir brun et des bottes de voyage confortables en cuir. Un sac à dos de taille moyenne avec à l’intérieur; quelques provisions, à boire, de quoi coudre un peu, des bougies, un ou deux journal et de quoi écrire, une petite couverture, quelques pièces, une dague, une boline, un mortier et un pilon, quelques fioles et pots, et quelques macérations qu'il a concocté lui-même. [b]
[b]Description physique:
Un torse et un dos de bonne carrure et un peu de ventre. Il a les bras d'un jene homme en forme, mais rien de plus. Ces jambes, elles, sont plus fortes, puisqu'il voyage beaucoup.
Son visage lui donnerait plutôt trois ans d'avance sur son âge réel. Jeune homme de taille très moyenne (5''7), les cheveux châtin mi-long, soyeux et dépeingés sans être d'apparence craceux. Il se laisse pousser une petite barbe brune, de 2-3 semaines, à rat son menton, allant du dessous de son coup à ces oreilles. Un peu de poil au dessous du nez. Encore aucun poil ou presque sous ces lèvres et rien non plus près de ces joux. Ces yeux sont d'un brun foncé et assé uniforme, donnent parfois l'mpression, dans la pénombre, d'être entièrement noir. Un nez pas trop grand, des lèvres légèrement mince, les oreilles on ne peu plus ordinaires. Une petite courbe au creu de ces joux définit ces paumettes et sa mâchoire.
Description psycologique:
Toujours à la recherche d'une nouvelle compéhession du monde, des êtres qui l'entourent. Il est très attentif à son impacte sur le monde et les autres. Son esprit est complexe et indécie. Rien n'est aquis, car il remet sans cesse le monde en question. Ces valeurs le pousse à faire le ''bien'' autour de lui. Il aime apprendre, comprendre, réinventer sa manière de voir le monde, faire réfléchir les gens et ce questionner. Il fait de son mieu pour être le plus juste qu'il soit. Tourmenter par une peur toujours présente, il ossile entre euphorie et angoisses. Cette peur c'est l'inconnu... Car il ne se réserve jamais le droit de comprendre quelque chose et de se reposer sur une quelquonque connaissance... allant même de sa conscience jusqu'à ces croyances. Il a le coeur tendre et ces amours sont passionnés et fort. Il a la conscience facilement lourde. Il est vrai, il est libre.
Malgré tout... il croit en Dieu. Il croit... ou il sait. Peut-être veut-il croire. Lui-même l'ignore.
Qualités: Rêveur, libre, débrouillard, empathique, indécie.
Défauts: Têtu, manque de confiance en lui-même, rêveur, indécie.
Peurs: Causer du tors, les hauteurs, la mort, l'inconnu.
Particuliarités:
Pouvoirs: Il ne se connait aucun pouvoir.
Point faible: Sa mortalité.
Limite d'énergie: Sa propre volonter et la force de son corp.
[b]Histoire:
-Haaaaaa!!!
-Courage Marianne, vous y arriver... Dit la sage dame.
La vieille porte de bois qui menait à la chambre s'ouvrit alors, fesant alors grincer lourdement ces gons de fer. Laissent s'échapper de la chambre les hurlement de douleur incessent de Marianne. La jeune bonne sortie alors de la chambre, tout en sueur et l'aire bien anxieuse. Elle refermit la porte derrière elle, mais on entendait toujours dans le vestibule les cris d'agonie.
-Konrad, j'ai peine à croire que votre enfant, puisse jamais voir le jour...
À l'extérieur, on entendait les cris de terreur des femmes et des enfants qui fuyaient dans les rues. On entendait les hommes et les créatures se battre. Cette fois les hurlement provenaient de la rue.
Penché sur sa fenêtre du deuxieme, le regard lourd et sombre, Konrad assistait à la destruction de son peuple, incapable. Sans même regarder la jeune femme qui venait d'entrée, il laissa s'échapper de sa bouche assechée un soupir de dégoût.
-Nous devrions partir maintenant mon seigneur. Sa voix tremblait.
-La guerre, le chaos... jamais on aurait crue qu'elle se serait répendue aussi vite, jusque ici, jusqu'aux rivages de l'océan. Et ces hommes, qui n'avaient que le temps de s'entre déchirer pour l'or. Les voilà séparer, désuni, face à leurs vrai ennemi, et leur temps est compter. Se doit être le prix que nous avons à payer pour le mal que nous nous fesions... Et maintenant, ce sera à ma femme et mon enfant de payer ma dette...
Une profonde tristesse apparue alors sur son visage. Il repenssa à ses erreurs, sa femme, son enfant qui était sur le point de naître. Ces yeux se remplirent d'eau et coulèrent sur ces joux.
-C'est ma dette... Ses jambes le lâchèrent alors et il s'effondra, les genoux au plancher, un bras sur le rebord de la fenêtre et l'autre sur son visage.
La jeune bonne se précipita aussitôt pour le soutenir. Un long cris déchirent provint de nouveau de la chambre.
-Le voilà! Julianna vite, vient m'aider! Dit la sage femme de la chambre.
Elle se releva aussitôt et se dirigea vers la chambre en courant. L'homme se releva, adressa un dernier regard vers la fenêtre. Il put appercevoir dans la rue plus bas, un lézard géant, chevaucher par un gobelin armurer, dévorer un homme. Il accourue à la chambre. Au chevet du lit, dos à lui, accroupie, la sage femme. Julianna apporta un linge qu'elle venait de tremper dans l'eau. Konrad alla auprès de sa femme, qui ossilait entre inquietude, épuisement et joie. Il prit sa main, son visage toujours plein d'eau, mais cette fois il adressa un sourir de bonheur à sa femme. L'enfant se mit alors à crier.
-Mon seigneur, vous avez un fils. Dit-elle, agitter par la suite des évènements.
La sage femme alla remettre l'enfant aux bras de sa mère et son père et leur assigna un dernier sourir avant de sortir de la chambre en courant. Marianne laissa s'échapper un ''merci'' avant que celle-ci ne quitte les lieux. Les deux parents furent submergés d'une grande joie qui fût malheureusement de très courte durée. La porte qui menait au rez-de-chaussé souvrit alors en un vacarme. Michael, le mari de Julianna, qui travaillait lui aussi pour la famille entra en courant. Une épée rouge et dégoulinante à la main. Ses habits, son visage et ces mains étaient couvert d'éclaboussures de sang.
-Notre cheval est hateler, nous devons partir et tout de suite Julianna! Il sont juste en bas.
Sans vouloir s'attarder une seconde il ne porta pas attention à la scène et alla lui prendre le bras pour l'emmener. Celle-ci comprit et voulue partir, mais alors qu'elle allait quitter la chambre, ses yeux se portèrent sur l'enfant. Elle savait que si elle l'abandonnait ici il mourrait. Elle s'arrêta et hésita. Konrad et elle se regardèrent l'espace d'une seconde, qui fût largement suffisent pour se comprendre.
-Que fais-tu? Nous devons partir si nous voulons rester en vie, alors vient! Nous ne pouvons plus rien pour eux.
Il voulue la forcer à le suivre en lui tirant le bras. Mais elle résista et s'en déprit.
-Non attend! Dit-elle en allant vers eux. Votre fils...
Konrad adressa se même regard à Marianne. Elle comprenait, prit une derniere fois son fils près d'elle et tout en pleurent et lui sourit. Elle le remit avec misère à Julianna, déchiré. Konrad se leva et s'adressa à Michael:
-Maintenant, fuyez... partez loin et sauver vos vies. Je reste ici avec mon amour.
Michael alla chercher Julianna de nouveau pour l'emporter avec lui. Marianne ne saissait de regarder cette bonne qui prenait sur elle son fils et de lui dire merci tout en pleurant. Alors qu'ils allaient soritr, elle se retourna de nouveau vers eux:
-Son nom, quel est son nom?
Marianne, de ses lèvres tremblantes...
-Melanos! Melanos Underbourg!
Konrad et Marianne plongèrent leur yeux les uns dans les autres, un sourir tendre, heureux et triste à la fois, s'enlassèrent. Courant aux écuries, ce fût le dernier souvenir d'eux qu'elle emporta avec l'enfant. Tout autour, les flammes et le chaos. Ils montèrent sur le chevaux et prirent la fuite juste à temps pour éviter l'une de ces créatures, qui alla monter au deuxieme. Le bébé ne saissait de hurler alors qu'ils chevauchaient vers la l'océan. Là, il prirent le chemin vers le sud, par la plage...
Vingt ans s'écoulèrent depuis se massacre. Julianna et Michael prirent la route vers les pays plus sûres, là où de grandes cités avaiet été construite. Là où ils pourraient battir leur vie en sécurité. Ils construirent une modeste maison dans un petit village du nom de Surrendow, une petite ville marchande qui se trouvait à quelques heures de marche de la cité Sola. Julianna et Michael essayèrent en vint d'avoir d'autres enfants enssemble, mais jamais il n'y parvinrent. Ils élevèrent Melanos comme leur propre fils et se prirent d'un amour sincère et fort pour lui. Ils lui cachèrent la tragique histoire de sa naissance. Melanos grandit auprès d'eux sans jamais se douter qu'ils n'étaient en faite pas ces parents. Ils lui apprirent le sens des valeurs, tels que l'honnêteté, le respect, l'indulgeance, à respecter ces engagements et affronter la vie. Il ne manqua jamais de rien, sans pourtant être fortuné. Il apprit à se contenter de ce que la vie lui apportait et à l'en remercier. Autour des repas chaud le soir, on parlait on riait... la vie était belle quand on travaillait fort. Julianna se mit à l'herboristerie et à l'amour de la nature. Elle devint sage femme et guérisseuse, et ne se privapas pour partager sa passion avec son fils. Michael, lui, une fois la maison terminé, devint menuisier et ébéniste. Il apportait son aide ici et là au village, prenait sur lui quelques contracts de bâtiments. L'amour que Michael et Julianna entretenaient était pure. Jamais on ne les avait vue se disputer, il arrivaient toujours à bien s'entendre par la compréhenssion et la bonne volonté. Notre petit bonhomme devint bientôt un enfant. Rêveur et émotionnel, il avait longtemps été le petit bouc émissaire des autres enfants. Déjà jeune il parlait sans cesse d'amour véritable, il le cherchait. Lorsqu'il était lui même, les autres se moquaient de lui, alors, il devint plus timide et renfermé sur lui même. Conscient de sa propre douleur, de l'impacte de ses gestes sur les autres, sa conscience évolua sans cesse. Il apprit à ne pas faire le mal autour de lui, à comprendre les gens qui l'entourent et le monde. Il avait l'esprit rêveur, voyageur, aventureux... Pour lui la vie était une aventure.
Puis, l'enfant devint un jeune homme. La maturité, les obligations, les filles. ll se prit d'amour pour une ou deux d'entre elles, croyant à chaque fois au vrai amour. Mais lorsqu'on est jeune, on est souvent bien borné et surtout ignorant. Il essuya quelques peines de coeur bien evidement. Mais ne perdit, étrangement, jamais ca vision du monde aventureux... son esprits au combien rêveur.
Il eut la chance d'apprendre les lettres et les chiffres... mais ce qui le passionnait le plus, c'était la magie. Haaa, comme il aurait aimé qu'on lui montre se qu'était la magie. Dans son pettit village, il n'y avait ni mage ni pretre. Aucune âme pouvant lui servir de maître. D'ailleur, à ce sujet, il n'avait jamais eu la chance de voir quoi que cela soit de magique. La seule chose qui lui était transmit, étaient des histoires et des contes venu d'ailleurs. Le monde était bien grand et vaste, on parlait de Dieu, de forces surnaturelles, d'êtres aux pouvoirs et de créatures. Mais la vie avait prit soin de l'en éloigner. Il aimait s'imaginer pouvoir manipuler les forces tout autour de lui, braver les danger et sauver le monde. Il se tuait à comprendre la monde magique, parfois il méditait, tentait de faire des projections astrals, de jeter des sorts... Sa passion, son enthousiasme et ces rêves le poussaient à essayer, à comprendre. Son manque de confiance lui refusait le droit de prendre pour aquis qu'il comprenait quoi que se soit et comme personne lui avait prit la main pour le guider il cherchait désespérement une force en lui qu'il ne trouvait jamais. Personne pour lui expliquer, lui confirmé si il avait progressé, se qu'il devait faire... mais surtout, lui confirmé: Tu n'es pas fou...
Confus entre connaissances, croyances, imagination et réalité, il ne sut quoi penser. Et comme il aspirait un jour trouver des réponses à ces questions, il se mit à ne plus rien prendre pour aquis. Il voulait croire... mais il ne savait. Il ne prenait donc aquis, ni la magie, ni la connaissance, ni les dieux... Puisque tous on des croyances différentes, il se mit à la recherche de la vrai vérité, il voulait élevé sa conscience. Tous voient le monde différement, et il savait que sa propre vision était elle aussi fausse en quelque part. Une grande bataille avait alors éclaté dans l'esprits de se jeune homme. Qui était-il? Que devait-il faire? Avait-il un but en ce monde?
Il savait une chose par contre. Une chose qui le poussait à trouver sa force et à croire en une quête ultime... Il n'était pas comme les autres. Il savait maintenant se qu'il devait faire... se trouver lui-même. Et pour cela, il le sentait, il allait devoir aller à la rencontre de son monde. Celui qu'il avait depuis toujours rêver. Aller là où son coeur l'enverrait et aller à la rencontre de sa destinée. Il allait voyager...
Sujet: Melanos Underbourg 
Jeu 17 Mar - 14:23
